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martes, 7 de junio de 2011

La obra de Alfred Jarry

L’œuvre d’Alfred Jarry :

Courants littéraires qui  voyagent par le temps

Université Industrielle de Santander

Jhon Alexánder MONSALVE FLÓREZ


Alfred Jarry

Alfred Jarry présente un personnage qui sera repoussé par le public français de son époque, mais avec lequel il a commencé trois mouvements littéraires qui sont nés, quelques années après, avec des caractéristiques similaires aux proposées dans l’œuvre de l’auteur français. Il a écrit son chef-œuvre à quinze ans en s’inspirer d’un professeur de l’institut de Rennes, donc, selon lui et ses camarades, monsieur Hebert, l’enseignant,  était l’exemple le plus précis pour la représentation  de ce qui est le plus grotesque du monde : Ubu, son personnage, est burlesque, choquant, caricatural, extravagant,  risible, dérisoire ; c'est-à-dire, Ubu roi incarne tout ce qui est ridicule et absurde. Avec cette œuvre, Alfred Jarry avance quelques années, comme s’il avait une machine du temps avec laquelle il voyageait par les ciels des mouvements littéraires du XXe siècle.

Quand il a commencé à écrire, il était totalement pataphysicien (Alfred Jarry a créé la Pataphysique, la science des solutions imaginaires ; cependant, dans ce texte, cette science ne sera pas nommé, parce que l’auteur la travaille dans l’œuvre « Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien » et ce n’est pas pertinent pour l’argument de la thèse principale) et symboliste, mais contrairement au concept fixe de ce mouvement, qui était, dès Baudelaire et ses Fleurs du mal, pris comme un courant de la littérature qui exprimait la beauté, et Alfred Jarry a fait un personnage qui est très sale et très laid ; ce courant, plus exactement, repose sur le sens du mystère : le mystère règne en nous et autour de nous, il est l’essence même de la réalité[1]. Alfred Jarry disait que le symbolisme était la liberté, que celle était une traduction de celui : « El simbolismo debe traducirse literalmente por la palabra libertad »[2], disait Alfred Jarry, assure  José Benito Alique, traducteur et écrivain espagnol. Cependant, il a laissé, possiblement, sans le savoir, son concept pur de symbolisme et l’a mis en relation avec le dadaïsme et le surréalisme, en commençant ce que, en France, on a connu comme le Théâtre de l’absurde. Mais pourquoi on dit qu’Alfred Jarry a été le précurseur de ces mouvements, s’il est mort, verse, avant que le dadaïsme apparaisse?

Ce texte exposera la vie et l’œuvre d’Alfred Jarry, il parlera du contexte historique dans lequel l’auteur a vécu : de la Troisième République Française, de la possible critique politique qu’il a fait de celle et du refus du peuple français vers son œuvre, et des moments de sa vie, avant et après de la publication de ses œuvres ; tout ce aidera à comprendre la réponse de la questions principale.

D’autre part, bien que beaucoup des érudits du théâtre français et, notamment, un professeur des lettres anglaises[3] aient dit qu’Ubu a été plagié par Jarry et que l’idée du personnage, vraiment, a été donnée par Charles Morin, Alfred Jarry a continué l’écriture d’un cycle qu’avec le temps s’appellerait Ubuesque et qui voyagera par le temps, en se dépassant à quelques courants littéraires ; par conséquent, il sera nécessaire de connaître le comment de ce succès et aussi la véritable naissance d’Ubu, qui n’est pas né ni de Morin, ni de Jarry, mais dont la séquence suivie par le père du Père Ubu aura des  caractéristique dadaïstes.

Après, ce travail fera l’attention dans le personnage : ses caractéristiques, sa folie, sa ridiculité, et aussi dans quelques ressemblances (la partie intertextuelle) avec un texte de Shakespeare. De plus, le travail parlera des trois œuvres fondamentaux, qu’ici on a travaillées (Ubu roi, Ubu sur la butte et Ubu enchainé), où Ubu est le personnage le plus important et où l’opposition entre le despotisme et l’esclavage se réduit ou se résume à ce qu’on connait comme l’absurde. De cette forme, il sera connu le pourquoi et le comment de dire qu’Alfred Jarry a été, sans aucun doute, le précurseur du Surréalisme, du Dadaïsme et du Théâtre de l’absurde, courants littéraires qui seront, évidemment, expliquer dans ce travail.

Alfred Jarry est né le 8 septembre 1873  à Laval. Il commence ses études à partir de l’année 1878 au Petit Lycée à sa ville. Sa mère, après des échecs commerciaux de son mari, décide le quitter et voyager chez son père, à Saint-Brieuc, avec ses deux enfants : Alfred Jarry et Charlotte Jarry[4]. Il étudie, alors, au Lycée de Saint-Brieuc, jusqu’a l’année 1888 ; après, sa mère, en pensant à l’éducation d’eux, décide partir à Rennes, où Alfred Jarry commence sa vie d’écrivant, sa vie poétique : le moment de la création d’Ubu roi, l’œuvre qui a beaucoup de choses ressemblantes aux mouvements littéraires qui ont apparu un temps après.

À Rennes, son professeur de Physique a été M. Hébert, qui représentait, selon ses élèves,  tout le grotesque du monde ; il est le protagoniste d’une geste épique et satirique qui fait partie des générations des étudiants du Professeur Hébert[5], surnommé le P. H. ou le Père Heb, qui, possiblement, est la base, au moins, des initiales du nom du personnage le plus important d’Alfred Jarry : Père Ubu. Cette partie grotesque est une caractéristique du Théâtre de l’absurde.  Plus bas, ce texte parlera de la véritable origine d’Ubu.

Or, Alfred Jarry a vécu en France, précisément, dans une période français qui n’a jamais favorisé le pays : La troisième République Française, dans laquelle les présidents montaient au pouvoir, mais ils ne duraient qu’une période courte, car tous les partis politiques du pays luttaient par obtenir le control. Pareillement, ces conséquences n’étaient pas celles que le peuple français attendait, parce que cette République avait été créée pour empêcher une autre invasion prussienne, après que la Prusse envahie la France dans la guerre franco-allemande ou franco-prussienne, où Napoléon a été capturé. Dans ce temps, Alfred Jarry est né et est mort. Ubu roi, Ubu enchainé te Ubu sur la butte sont une critique, sans doute, au régime politique de cette époque-là ; c’est une critique social, pour le peuple français ou pour tout humain, qui consiste à dire avec humeur ce qu’on ne peut pas éviter : toute personne qui monte au pouvoir, elle devient despote et tyran. À ce propos, le Surréalisme a comme priorité l’inconscient, sans l’intervention, évidemment, de la raison, et quand l’humain monte au pouvoir celle s’efface. 

Ubu roi a été représenté, par premier foi, avec les marionnettes du théâtre des Phynances, en décembre 1888. Quand Ubu roi a été mis en scène en 1896 au Théâtre de  l’Œuvre, le public français l’a repoussé, mais le succès de ce refus a été la reconnaissance de l’auteur. Beaucoup de gens se sont sentis blaisés avec la critique social qui faite l’œuvre, parce que le message le plus principal et important montré en Ubu Roi, Ubu sur la butte et en Ubu enchainé, c’est l’impossibilité d’être  quelque jour plus despote qu’Ubu ; a ce propos, Alfred Jarry assure en Paralipomène d’Ubu : « Ce n’est pas exactement Monsieur Thier, ni le bourgeois, ni le mufle : ce serait plutôt l’anarchiste parfait, avec ceci qui empêche que nous devenions jamais anarchiste parfait, que c’est un homme, d’où couardise, saleté, laideur, etc. »[6]. Possiblement, les gens n’ont pas supporté la vérité dite vis-à-vis, et l’écho de  la presse s’est chargé de la critique et du début de la célébrité de l’auteur[7]. Alfred Jarry a voulu faire un personnage, laid et sale, qui représente les envies du peuple français de monter au pouvoir ; Ubu roi avec sa laideur et sa saleté est l’image vue par les gens qui composent le peuple, mais qui veulent aussi ordonner : « S’il (Ubu) ressemble à  un animal, il a surtout la face porcine, le nez semblable à la mâchoire inférieur du crocodile, et l’ensemble de sa carapaçonnage  de carton le fait en tout le frère de la bête marine la plus esthétiquement horrible, la limule »[8]. Le dadaïsme apparait dans ce moment, parce qu’Alfred Jarry montre un personnage qui va contre toute la beauté et contre l’universel en général.      

L’origine d’Ubu, pareillement, n’appartient pas ni à Alfred Jarry, ni à Charles Morin, bien qu’on a déjà dit qu’un professeur des lettres anglaises a assuré qu’Ubu a été plagié par Jarry et que l’idée du personnage, vraiment, a été donnée par Charles Morin.  Ubu est né en Turkestan il y a beaucoup de temps[9]. Ses parents ont été un homme senorme et une femme tartare. Un jour il a dû fuir d’une multitude d’hommes qui allaient le tuer. Il est devenu un poisson de cuivre et il a été attrapé par la glace de l’océan Glacial. Après, dans un été, il a pu se libérer et il a commencé à marcher et nager jusqu’à la France. Plus tard, il a voyagé à l’Espagne et a été baptisé comme Roi d’Aragon[10]. L’auteur français commence le mouvement dadaïste sans le savoir : il a pris la liberté et l’spontanéité comme le symbolisme, mais, bien que ce courant littéraire soit à faveur de la liberté du vers, la liberté et spontanéité proprement dites sont dadaïstes[11]. Alors, Alfred Jarry a pris librement un dit mythe d’il y a beaucoup de temps pour critiquer le peuple français et son désir de pouvoir : Ubu roi, Ubu sur la butte et Ubu enchainé sont une critique du et pour le pouvoir.      

À propos des œuvres, la partie suivante du texte s’agira du cycle Ubuesque et de sa relation avec les mouvements littéraires. Pour continuer en argumentant le pourquoi de la nomination d’Alfred Jarry comme le précurseur du Surréalisme, du Dadaïsme et du Théâtre de l’absurde, il faut connaitre des œuvres et les caractériser petit à petit.

Ubu roi, c’est une œuvre qui s’agit d’un personnage laid et sale qui est incité par sa femme pour tuer le roi de la Pologne. Bien que le roi lui fait l’invitation pour devenir comte de Sandomir, il a décidé de le tuer, parce que François Ubu, voilà le nom du personnage, veut être roi et pas comte, il veut ordonner tout le temps, tuer tout le peuple ; il veut le monde pour lui, seul pour lui. Alor, il tue le roi, il monte au pouvoir et commence à toucher les impôts pour tout, même pour être célibataire ; il commence à tuer toute personne qui ait de l’argent. Le fils du roi Venceslas, Bougrelas, se rejoint avec le roi de la Russe pour vaincre au nouveau roi de la Pologne. Ubu roi part avec son armé vers la guerre, mais il est battu ; Bougrelas monte au pouvoir,  et Ubu fui avec sa femme, la mère Ubu, à la France. Ubu est, comme dit André Lagarde, le maitre de l’absurdité : « Ancien roi d’Aragon, officier de confiance du roi Venceslas, le masque fantastique a d’abord, pour premier parole, lancé LE mot célèbre (Lagarde fait référence à Merdre, premier mot du texte et qui est répétée beaucoup de fois). Puis, il a lâchement renversé le roi de Pologne, son bienfaiteur, et fait massacrer presque toute la famille royale. Avant d’étaler sa couardise dans une guerre grotesque contre Bougrelas, héritier du trône, il s’affirme ici dans le déploiement de l’arbitraire qui est une forme de l’absurde »[12].

De cette forme, il est possible de voir la relation de cette œuvre avec le Théâtre de l’absurde, qui n’est pas précisément un courant littéraire, mais un type de théâtre apparu dans les années 1940, se caractérisant par une rupture totale par rapport aux genres plus classiques, tels que le drame ou la comédie. Il s’agit d’un genre traitant fréquemment de l’absurdité de l’Homme et de la vie en général, celle-ci menant toujours à la mort[13].

Bien qu’Ubu n’est jamais mort, ce concept (la mort) est présent dedans l’œuvre, puisque le nouveau roi commence à tuer toutes les personnes qui portent de l’argent et parce qu’à la fin de la bataille, entre Ubu et Bougrelas, on suppose que la morte est témoin de la vengeance du second.  Quoiqu’Ubu roi soit une comédie satirique vers la bourgeoisie (la satire vers la bourgeoisie est aussi une caractéristique de l’absurde ; cependant, l’œuvre n’est pas totalement absurde parce que c’est une comédie, sans aucun doute) et le peuple en général, cette œuvre est dite absurde parce que les scène se déroulent souvent dans un climat de catastrophe mais le comique s’y mêle pour dépasser l’absurde, et parce que le langage mis en scène n’est plus un moyen de communication mais exprime le vide, l’incohérence et représente la vie, laquelle est elle-même ridicule[14]. Ubu roi est incohérent, ridicule et absurde, lui-même.

C’est très intéressant savoir qu’Ubu roi est basé, de certaine forme, à Macbeth, de Shakespeare ; plutôt, on dirait qu’Ubu roi, dans ses premières scènes, est une satire à cette œuvre de l’auteur anglais. Quant on lit Macbeth, on trouve qu’une femme, c’est celle qui incite à un homme pour aller tuer un roi ; la même scène est présente en Ubu roi. Voilà, possiblement, la raison pour laquelle Alfred Jarry, après de dédier Ubu Roi à Marcel Schwob, il a écrit : « A donc le Père Ubu hoscha la poire, dont fut depuis nommé par les Anglois Shakespeare, et avez de lui sous ce nom maintes belles tragœdies par escript »[15]. Il est évident que la satire, caractéristique forte du Théâtre de l’absurde, est présente dès le début d’Ubu roi.

Ubu sur la butte présente la même histoire de l’œuvre dont on a déjà parlée, néanmoins, elle est plus courte parce que l’auteur l’a écrite pour le théâtre de marionnettes, avant de la présentation d’Ubu roi. L’histoire est racontée, d’une manière brève, dès le plan de tuer au roi jusqu'à la sortie d’Ubu et sa femme de la Pologne, avec la différence de que Bougrelas, à la fin, capture Ubu et veut le devenir esclave. Il est possible que ce changement soit totalement dadaïste, parce que la contradiction est une de ses caractéristiques[16]. Ubu sur la butte croie qu’il voit un fantôme, quand en réalité c’est la Mère Ubu ; il est avec un homme de son armé, Lascy,  à qui un ours veut le tuer, cependant, le père Ubu  commence à prier pour que l’animal ne le voie pas (à lui, le père Ubu) ; il ne s’intéresse pas pour la santé de quiconque autre humain.

 Le comportement du personnage est le même, pendant tout les trois œuvres. Il est, en Ubu sur la butte, le même roi despote, qui touche les impôts du peuple, qui, au début de l’œuvre Ubu roi, célèbre le royaume  du nouveau roi, parce qu’il donne de l’argent aux personnes du peuple français qui arrivent plus vite au lieu qu’il dise. Ubu sur la butte, c’est le personnage qui attend être sauvé d’un ours, et qui prie à Dieux sa salvation. Ubu sur la butte exprime l’absurdité, parce qu’il veut que son armé batte mais sans manger et que son cheval de Phynance court sans l’avoir donné rien de nourriture. Ubu sur la butte n’est pas conscient que la bataille n’est pas de lui. Cet Ubu fait ce que fait sans aucune raison, sans conscience.

Alfred Jarry a mis son personnage avec caractéristiques surréalistes : Le Surréalisme est défini, par Breton, comme la dictée de la pensée sans l’intervention de la raison : « Automatisme psychique pur par le quel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dicté de la pensée, et l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale »[17], et Ubu sur la butte ne raisonne jamais. Ubu ne pense pas aux conséquences ; il fait des choses sans aucune raison ; Ubu sur la butte continue en pensant qu’il est le roi, bien que Bougrelas lui ait dit qu’il (Père Ubu) serait, désormais, un esclave en France.  Voilà, une autre fois la contradiction d’Alfred Jarry, car quelques années après il écrit Ubu roi, sans ce final ; en Ubu roi, on a déjà dit, Ubu décide par soi même partir avec la Mère Ubu à la France.  Cette contradiction est totalement dadaïste ; il est impossible de le nier.

Ubu enchaîné complète la base du cycle Ubuesque (composé aussi par Ubu coucou, Les paralipomènes d’Ubu et L’almanach du Père Ubu) ; cette œuvre est présentée en suivant la séquence d’Ubu sur la butte ; c'est-à-dire, on trouve la période d’esclavage du Père Ubu, qui, en étant ainsi, il continue comme un personnage despote ; ça veut dire que l’humain français de cette époque-là, selon la critique de Jarry, soit dans une situation très positive, soit dans un mauvais état, il cherchait à monter au pouvoir. Verse, on peut lire dans Ubu enchaîné une partie qui montre l’avant dit, et qui fait plus absurde cette œuvre que les autres : les gens veulent  aller à prison, parce que là, était la véritable liberté : « Je suis prêt à accepter votre commandement ; nous envahirons les prisons, et nous supprimeront la liberté »[18], dit Phissedoux, un soldat qui voit qu’Ubu a été pris comme roi par quelques étrangers ; c’est absurde sans aucun doute, comme l’union de tout le peuple français pour devenir esclave : « Je me révolte aussi !, vivre la servitude !, nous en avons assez ! Nous voulons être esclaves à notre tour, foutre ! »[19].  Ce c’est le résultat, possiblement, d’un peuple qui a vu qu’en étant esclave, la liberté es supérieur ; à ce propos, Ubu dit : « On non ! Si vous m’avez mis à la porte de ce pays et me renvoyez je ne sais où comme passager sur cette galère, je n’en suis pas moins resté Ubu enchaîné, esclave, et je ne commanderai plus. On m’obéit bien d’avantage »[20], ça c’est très absurde.  

En Ubu enchaîné, on trouve un personnage très différent, en quelques aspects, à celui qu’on a déjà connu : Ubu enchainé ne dit pas le mot MERDRE, qui disait fréquemment en Ubu roi et en Ubu sur la butte. Le personnage décide de ne pas le dire parce que selon lui, ce mot l’a apporté problèmes. Cependant il continue en disant d’autres expressions qui vont contre la langue française instituée : Jarnicotonbleu, Par ma chandelle verte, Cornegidouille…  Et ces expressions et ces mots sont des caractéristiques du mouvement dadaïste ; André Lagarde le confirme : « Le mouvement Dada se propose une révolte totale aboutissant à une violence anarchique et à la désagrégation du langage »[21].

En conclusion, il est possible de dire qu’Alfred Jarry a commencé grâce à son œuvre  deux mouvements littéraires et un type de théâtre. Le Dadaïsme se présente comme la rébellion de l’auteur, dans le moment de la représentation d’Ubu roi, d’une forme différente à celle qui existait à la fin du XIX siècle. Le dadaïsme est contre la beauté ; ce courant littéraire se caractérise par la totale liberté de l’humain, par la contradiction et par l’humeur. Dans l’œuvre d’Alfred Jarry on trouve toutes celles caractéristiques qui font de l’auteur le précurseur de ce mouvement.

Le surréalisme a comme priorité l’inconscient. On a dit que ce courant est la dicté de la pensée sans l’intervention de la raison. Le personnage d’Alfred Jarry ne raison jamais ; il fait des choses sans penser aux conséquences. Ubu roi, Ubu sur la butte et Ubu enchainé ont celles caractéristiques surréalistes.

Le Théâtre de l’absurde fait des critiques à la société et à l’homme. Ce type de Théâtre se caractérise par l’incohérence, la folie et la partie illogique. Ubu roi, c’est le début de ce théâtre, parce qu’il n’y a pas personne plus incohérente, foule et illogique que le Père Ubu.

Alfred Jarry a voyagé par le temps. Son œuvre a été prise comme une critique social et politique : une critique au pouvoir. L’auteur français a fait de son personnage le plus despote et le plus absurde, mais aussi, sans aucun doute, le début dès mouvements littéraires qui prennent comme un maître au père d’Ubu.  

BIBLIOGRAPHIE

JARRY, Alfred. (Tout Ubu)Todo Ubú. Barcelona: Bruguera, S.A., 1980.


LAGARDE, André. Les grands auteurs français.  Paris: Bordas, 1971.


LES AMIS D’ALFRED JARRY. (Page consultée le 26 novembre 2010) [En ligne] Adresse URL :




RINGELHEIM, Juan Pablo. El derrotado de Ubu. (Page consultée le 3 décembre 2010) [En ligne] Adresse URL:



WIKIPEDIA. (Page consultée le 3 décembre 2010) [En ligne]Adresse URL :







[1] LAGARDE, André. Les grands auteurs français.  Paris: Bordas, 1971,p. 629.
[2] JARRY, Alfred. (Tout Ubu)Todo Ubú. Barcelona: Bruguera, S.A., 1980, p. 7.
[3] RINGELHEIM, Juan Pablo. El derrotado de Ubu. (En ligne): http://www.revista-artefacto.com.ar/pdf_notas/74.pdf, p. 1.
[4] http://www.alfredjarry2007.fr/biographie/index.php
[5] http://www.alfredjarry2007.fr/biographie/index.php
[9] RINGELHEIM, Juan Pablo. El derrotado de Ubu. (En ligne): http://www.revista-artefacto.com.ar/pdf_notas/74.pdf, p. 1.
[10] Cette histoire on la trouve dans le prologue D’Ubu roi qui a fait Juan Esteban Fassio. RINGELHEIM, Juan Pablo. El derrotado de Ubu. (En ligne): http://www.revista-artefacto.com.ar/pdf_notas/74.pdf, p. 1.
[11] http://es.wikipedia.org/wiki/Dada%C3%ADsmo
[12] LAGARDE, André. Les grands auteurs français.  Paris: Bordas, 1971, p. 659.
[13] http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9%C3%A2tre_de_l%27absurde
[14] http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9%C3%A2tre_de_l%27absurde
[15] http://www.alfredjarry2007.fr/oeuvresnumerisees/PDFJarry/Jarry_BM_Laval_90644.pdf
[16] http://es.wikipedia.org/wiki/Dada%C3%ADsmo
[17] LAGARDE, André. Les grands auteurs français.  Paris: Bordas, 1971, p. 715
[21] LAGARDE, André. Les grands auteurs français.  Paris: Bordas, 1971, p. 714

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